Reportage

Liszt fut un propagateur acharné des œuvres de Berlioz, lequel s’adressant à Liszt lui disait « mon cher sublime » admirateur du génie, mais cependant jaloux de ses audaces harmoniques il avait commenté « quelle négation de l’art ! » suite à la Messe de Liszt donnée à Saint Eustache en 1866.

Liszt a pardonné et a même soutenu Berlioz suite à son échec de la présentation à Paris de son opéra Benvenuto Cellini et composant une transcription "Bénédiction et Serment"  en 1852/53. Avec l'aide de Franz Liszt, Berlioz s'attela à une version remaniée et condensée  produite en 1852 et 56 et connu un grand succès par la suite.

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